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Jour sélectionné:
18/02/2025
Portion biblique:
1 Corinthiens 14:1-37
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Chapitre 14

Introduction

Vous êtes assis à une table dans une salle plutôt tristounette pour l'épreuve de philosophie, cuvée 2025. Vous lisez le sujet: Nommez et décrivez la caractéristique, l'attitude la plus importante qu'un être humain puisse montrer envers ses semblables ! Le candidat devra justifier son choix. Si vous avez écouté l'émission précédente, vous savez que la bonne réponse c'est l'amour.

Avant de s'engager dans cette sublime digression, l'apôtre s'élevait contre la façon dont les Corinthiens faisaient usage des dons spirituels. En effet, au lieu de favoriser l'unité de l'Église, ils créaient des divisions et la discorde. Ces paroissiens partisans d'un certain ultra libéralisme prônaient avant tout l'enrichissement personnel qui contribuait à un esprit factieux et ignorait les besoins des autres membres de l'Église. Cet égocentrisme se manifestait dans les problèmes soulevés par cette Épître.

Les Corinthiens étaient fascinés par la capacité de parler des langues étrangères, qui au lieu de servir à l'édification commune était utilisée pour l'exaltation personnelle. Paul ne voulait pas réprimer l'exercice des dons, mais désirait que leur usage soit gouverné par l'amour du prochain. Tous les dons de l'Esprit devaient être contrôlés par les fruits de l'Esprit dont l'amour tient la première place. C'est en exerçant leurs dons pour le bénéfice de l'Église que les Corinthiens honoreraient Dieu.

Verset 1

Je commence à lire le chapitre 14.

Ainsi, recherchez avant tout l'amour; aspirez en outre aux manifestations de l'Esprit, et surtout au don de prophétie (1Corinthiens 14.1).

Dans le chapitre 12, l'apôtre a enseigné que les croyants reçoivent des dons spirituels différents qu'ils doivent mettre au service des autres. Tous les chrétiens d'une Église sont appelés à fonctionner ensemble comme le font les divers organes du corps humain. Comme point final de discussion sur l'unité et la diversité des dons spirituels, Paul avait exhorté les Corinthiens à désirer les talents qui seraient les plus avantageux pour l'Église. C'est alors qu'il a fait une digression pour dire qu'aimer son prochain est préférable à l'usage des dons.

Le chapitre 14 reprend ce dernier point disant que les Corinthiens doivent faire de l'amour la caractéristique principale de leur vie. L'apôtre établit une distinction entre les dons qu'un croyant peut exercer et les fruits de l'Esprit qu'il est appelé à manifester dans sa vie. Ceux-ci sont l'amour, la joie, la paix, la patience, l'amabilité, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi (Galates 5.22-23). L'amour est bien sûr au début de cette liste. Cela dit, l'apôtre désire que les Corinthiens aspirent aux meilleurs dons spirituels.

Celui qui vient en tête est la prophétie; c'est-à-dire la proclamation de la Parole de Dieu, qu'elle soit destinée à un avenir lointain ou pour le temps présent. Paul essaie de remettre les pendules à l'heure en détournant l'attention exagérée des Corinthiens pour le don des langues vers ceux qui sont plus importants pour l'Église. C'est une façon de leur dire: Ne tombez pas dans le fanatisme en vous laissant conduire par vos émotions ! D'ailleurs dans le chapitre précédent, il a précisé qu'éventuellement tous les dons cesseront et que seuls demeureront la foi, l'espérance et l'amour.

La Turquie contient les ruines de beaucoup d'églises dans lesquelles Paul a prêché. En Anatolie habitaient beaucoup de tribus qui avaient toutes leur propre langue parlée. Or l'apôtre a traversé cette vaste région. On peut imaginer que pour évangéliser ses habitants il lui a fallu exercer le don de parler des langues qu'il ne connaissait pas, tout comme les apôtres et les disciples le jour de la Pentecôte.

Verset 2

Je continue le texte.

Celui qui parle dans une langue inconnue s'adresse à Dieu et non aux hommes: personne ne comprend les paroles mystérieuses qu'il prononce sous l'inspiration de l'Esprit (1Corinthiens 14.2).

Le parler en langues avait été prophétisé par le Christ en même temps que d'autres dons miraculeux. Je lis le passage:

Voici les signes miraculeux qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront des démons, ils parleront des langues nouvelles, ils saisiront des serpents venimeux, ou s'il leur arrive de boire un poison mortel, cela ne leur causera aucun mal. Ils imposeront les mains à des malades et ceux-ci seront guéris (Marc 16.17-18).

À côté des chapitres 12 et 14, le parler en langues apparaît à trois reprises dans le livre des Actes, au jour de la Pentecôte lorsque les apôtres ont parlé du Messie aux Juifs rassemblés à Jérusalem; ensuite, quand Pierre a annoncé la Bonne Nouvelle de Jésus au centurion romain Corneille; et finalement, lorsque les disciples de Jean-Baptiste eurent reçu l'imposition des mains de la part de Paul. Le parler en langues fut le signe audible de la réception de la grâce de Dieu en Jésus de ces trois groupes de gens: les descendants d'Abraham, les païens et les Juifs croyants de l'Ancienne Alliance.

Paul écrit aux Corinthiens pour mettre de l'ordre dans leur Église. Or durant leurs réunions, certains parlaient en langues sans que quiconque puisse comprendre ce qui était dit. Ces paroles mystérieuses étaient inutiles pour l'assemblée, car elles demandaient une révélation surnaturelle que Dieu ne leur avait pas accordée. C'est pour cela que plus loin dans le texte, Paul demande que ce parler cesse si personne ne peut le traduire ce qui suggère qu'il est question de langages humains dotés d'une syntaxe et de règles de grammaire.

De plus, le passage du prophète Ésaïe que citera l'apôtre renvoie lui à une langue véritable. Ce n'est pas tout. Le mot langue est une traduction du grec glossa . Or, partout dans le Nouveau Testament, il est utilisé soit pour l'organe physique de la langue ou de façon figurée à propos d'un langage humain. Il ne se rapporte nulle part à un état extatique; seule l'Épître aux Corinthiens pourrait constituer une exception.

En effet, à Corinthe il pourrait s'agir non de langages humains, mais d'un phénomène qui s'appelle la glossolalie et qui était fréquent dans les religions païennes. Ainsi, au 5e siècle av. J-C, le poète tragique grec Euripide et, quelques années avant la naissance du Christ, le poète latin Ovide font tous deux état d'extases frénétiques en langues des prêtresses du très cruel Dionysos, fils de Zeus, dieu de la vigne et qui est appelé Bacchus dans la mythologie romaine. Dans une de ses oeuvres publiées en l'an 19 de notre ère, le poète latin Virgile parle d'une devineresse de la ville de Cumes, aujourd'hui Cuma en Italie du Sud, qui était la plus célèbre et qui s'exprimait en langue extatique. Le moraliste athénien Plutarque mentionne lui aussi une prêtresse d'Apollon qu'on venait consulter de toute la Grèce pour entendre ses oracles en langues extatiques. Tous ces détails sont un peu barbants, je le conçois, mais ils montrent que les Corinthiens étaient confus, pensant certainement que le don des langues était analogue aux états de transe païens.

Verset 3

Je continue le texte.

Mais celui qui prophétise aide les autres à grandir dans la foi, les encourage et les réconforte (1Corinthiens 14.3).

La prédication de la Parole de Dieu a pour but d'appliquer la vérité divine à des situations concrètes de la vie. Le don de prophétie que possédaient aussi bien des femmes que des hommes était d'autant plus important à cette époque que le Nouveau Testament n'avait pas encore été rédigé. L'accent principal de Paul dans ces chapitres sur les dons spirituels est l'édification des membres de l'Église.

Verset 4

Je continue.

Celui qui parle dans une langue inconnue est seul à en tirer un bienfait pour sa foi; mais celui qui prophétise permet à toute l'assemblée de grandir dans la foi (1Corinthiens 14.4).

Comme Paul l'a déjà dit et répété, les dons spirituels n'étaient pas donnés pour un enrichissement personnel, mais pour le bien des autres. Cependant et curieusement, celui qui avait le don des langues pouvait l'exercer selon son bon vouloir même de manière égocentrique en dehors de la volonté divine. L'homme est libre de mettre les talents que Dieu lui a donnés au service des autres ou de les utiliser pour son compte personnel. Dans l'Ancien Testament, un sinistre personnage du nom de Balaam était prophète de l'Éternel. Il a tout d'abord hésité puis a essayé d'utiliser son don pour faire du fric sans pour autant que Dieu le lui retire.

Versets 5-6

Je continue le texte.

Je veux bien que vous sachiez tous parler dans des langues inconnues, mais je préférerais que vous prophétisiez. Celui qui prophétise est plus utile que celui qui s'exprime dans une langue inconnue sauf si quelqu'un le traduit pour que l'Église puisse grandir dans la foi. Supposez, frères, que je vienne chez vous et que je m'exprime exclusivement dans ces langues inconnues, sans vous apporter aucune révélation, aucune connaissance nouvelle, aucune prophétie, aucun enseignement. Quel profit tireriez-vous de ma présence? (1Corinthiens 14.5-6).

Paul ne voulait pas déprécier le don des langues, mais donner une plus grande valeur à la prophétie. Cependant, il leur rappelle que quand il est venu leur apporter le message de la Bonne Nouvelle, il l'a fait de façon intelligible pour qu'ils comprennent et en tirent profit.

Versets 7-9

Je continue.

Voyez ce qui se passe pour des instruments de musique comme la flûte ou la harpe. Comment reconnaîtra-t-on la mélodie jouée sur l'un ou l'autre de ces instruments s'ils ne rendent pas de sons distincts? Et qui se préparera pour la bataille si le signal que donne la trompette n'est pas parfaitement clair? Il en va de même pour vous: comment saura-t-on ce que vous voulez dire si, en utilisant ces langues inconnues, vous ne prononcez que des paroles inintelligibles? Vous parlerez en l'air ! (1Corinthiens 14.7-9).

Paul utilise deux illustrations pour montrer l'inutilité du parler en langues s'il n'y a pas d'interprète. Si j'essaie d'utiliser un instrument de musique, au mieux j'en sors un bruit agaçant, mais certainement pas un son mélodieux. La même chose s'applique au signal d'attaquer un ennemi; s'il n'est pas clair, personne ne comprendra que c'est le moment d'y aller, ce qui peut avoir des conséquences dramatiques.

Versets 10-15

Je continue.

Il existe, dans le monde, un grand nombre d'expressions linguistiques différentes, dont aucune n'est dépourvue de sens. Mais si j'ignore le sens des mots utilisés par mon interlocuteur, je serai un étranger pour lui, et lui de même le sera pour moi. Vous donc, puisque vous aspirez si ardemment aux manifestations de l'Esprit, recherchez avant tout à posséder en abondance celles qui contribuent à faire grandir l'Église dans la foi. C'est pourquoi, celui qui parle en langues inconnues doit demander à Dieu de lui donner de traduire ce qu'il dit en langage compréhensible. Car si je prie en langues inconnues, mon esprit est en prière, mais mon intelligence n'intervient pas. Que ferai-je donc? Je prierai avec mon esprit, mais je prierai aussi avec mon intelligence. Je chanterai les louanges de Dieu avec mon esprit, mais je chanterai aussi avec mon intelligence (1Corinthiens 14.10-15).

La communication humaine n'a de sens que si on la comprend. En conséquence, le don de traduire doit nécessairement accompagner celui de parler en langues. Dans ces conditions, les assistants sont édifiés puisqu'ils reçoivent un message de Dieu qu'ils comprennent.

Versets 16-17

Je continue.

Autrement, si tu remercies le Seigneur uniquement avec ton esprit, comment l'auditeur non averti, assis dans l'assemblée, pourra-t-il répondre «Amen» à ta prière de reconnaissance, puisqu'il ne comprend pas ce que tu dis? Ta prière de reconnaissance a beau être sublime, l'autre ne grandit pas dans sa foi (1Corinthiens 14.16-17).

Si je ne comprends pas ce que quelqu'un dit dans sa prière, il m'est impossible d'être d'un même coeur avec lui.

Versets 18-20

Je continue.

Je remercie Dieu de ce que je parle en langues inconnues plus que vous tous. Cependant, lors des réunions de l'Église, je préfère dire seulement cinq paroles compréhensibles pour instruire aussi les autres, plutôt que dix mille mots dans une langue inconnue. Mes frères, ne soyez pas des enfants dans votre façon de juger des choses. Pour le mal, soyez des petits enfants, mais dans le domaine du jugement, montrez-vous des adultes (1Corinthiens 14.18-20).

Bien que Paul ait reçu le don des langues, ce qui l'intéressait c'était l'épanouissement spirituel des autres, c'est-à-dire le don prophétique. L'engouement des Corinthiens pour les langues n'était qu'une autre manifestation de leur caractère égocentrique et mondain.

Versets 21-22

Je continue.

Il est dit dans l'Écriture: Je parlerai à ce peuple dans une langue étrangère par des lèvres d'étrangers, et même alors, ils ne m'écouteront pas, dit le Seigneur. Ainsi, les paroles en langues inconnues sont un signe du jugement de Dieu; elles concernent, non pas les croyants, mais ceux qui ne croient pas; les prophéties, elles, sont un signe de la faveur de Dieu: ils s'adressent non pas aux incroyants, mais à ceux qui croient (1Corinthiens 14.21-22).

Paul cite un passage de l'Ancien Testament où l'Éternel avertit Israël que le langage incompréhensible des Assyriens envahissant leur pays sera pour eux un signe de son jugement contre eux. Par contre, lorsque Dieu parle de façon compréhensible, c'est une preuve de sa bienveillance. Dans l'Église, les langues non interprétées renforcent les incroyants dans leur incrédulité, et confirment le jugement de Dieu contre eux.

Versets 23-25

Je continue.

En effet, imaginez que l'Église se réunisse tout entière, et que tous parlent en des langues inconnues: si des personnes non averties ou des incroyants surviennent, ne diront-ils pas que vous avez perdu la raison? Si, au contraire, tous prophétisent et qu'il entre un visiteur incroyant ou un homme quelconque, ne se sentira-t-il pas convaincu de péché et sa conscience ne sera-t-elle pas touchée? Les secrets de son coeur seront mis à nu. Alors, il tombera sur sa face en adorant Dieu et s'écriera: «Certainement, Dieu est présent au milieu de vous» (1Corinthiens 14.23-25).

La prédication de la vérité est bien préférable à une scène de chaos, non seulement pour les chrétiens, mais aussi parce qu'elle expose les non-croyants à la Parole de Dieu qui a le potentiel de les amener à la repentance et au salut.

Versets 26-33

Je continue.

Comment donc agir, mes frères? Lorsque vous vous réunissez, l'un chantera un cantique, l'autre aura une parole d'enseignement, un autre une révélation; celui-ci s'exprimera dans une langue inconnue, celui-là en donnera l'interprétation; que tout cela serve à faire grandir l'Église dans la foi. Si l'on parle dans des langues inconnues, que deux le fassent, ou tout au plus trois, et l'un après l'autre; et qu'il y ait quelqu'un pour traduire. S'il n'y a pas d'interprète, que celui qui a le don des langues garde le silence dans l'assemblée, qu'il se contente de parler à lui-même et à Dieu. Quant à ceux qui prophétisent, que deux ou trois prennent la parole et que les autres jugent ce qu'ils disent: si l'un des assistants reçoit une révélation pendant qu'un autre parle, celui qui a la parole doit savoir se taire. Ainsi vous pouvez tous prophétiser à tour de rôle afin que tous soient instruits et stimulés dans leur foi. Car les prophètes restent maîtres d'eux-mêmes. Dieu, en effet, n'est pas un Dieu de désordre, mais de paix (1Corinthiens 14.26-33).

Dans les réunions d'Église, tout doit se faire avec ordre et bienséance et concourir à l'édification des membres. L'enseignement doit être soumis à l'évaluation de la communauté pour s'assurer qu'il vient de Dieu et personne n'a le droit de monopoliser la parole. En effet, certains imposaient aux autres des démonstrations égocentriques de spiritualité qui dominaient le culte, créant le désordre dans l'Église de Corinthe.

Versets 34-36

Je continue.

? comme dans toutes les Églises de ceux qui appartiennent à Dieu, que les femmes n'interviennent pas dans les assemblées; car il ne leur est pas permis de se prononcer. Qu'elles sachent se tenir dans la soumission comme le recommande aussi la Loi. Si elles veulent s'instruire sur quelque point, qu'elles interrogent leur mari à la maison. En effet, il est inconvenant pour une femme de se prononcer dans une assemblée. Car enfin, est-ce de chez vous que la Parole de Dieu est sortie? Est-ce chez vous seulement qu'elle est parvenue? (1Corinthiens 14.34-36).

Les Corinthiens se croyaient un peu le centre du monde chrétien. Alors, Paul les remet à leur place et remédie au désordre occasionné par les femmes mariées qui commentaient les messages à haute voix. Comme l'apôtre leur a précédemment reconnu le don prophétique, ce qu'il leur demande ici est de ne pas prendre part à l'évaluation de l'enseignement donné, montrant par là leur soumission à leurs maris qu'elles pourront interroger plus tard. Il était important que l'attitude des femmes ne soit pas culturellement interprétée comme l'expression d'un désir de renverser l'ordre de la création voulu par Dieu entre l'homme et la femme.

Versets 37-40

Je finis ce chapitre.

Si quelqu'un estime être un prophète ou pense bénéficier d'une manifestation spirituelle, il doit reconnaître, dans ce que je vous écris, un ordre du Seigneur. Et si quelqu'un refuse de reconnaître cela, c'est la preuve qu'il n'a pas été lui-même reconnu par Dieu. En résumé, mes frères, recherchez ardemment le don de prophétie et ne vous opposez pas à ce qu'on parle en des langues inconnues. Mais veillez à ce que tout se passe convenablement et non dans le désordre (1Corinthiens 14.37-40).

C'est ainsi que s'achève toute la discussion de Paul à propos des irrégularités dans le culte et des corrections à y apporter. Ses paroles font loi, car elles viennent du Saint-Esprit et ceux qui les rejetteraient, s'opposeraient à lui. En résumé, les Corinthiens doivent accorder une attention spéciale aux dons qui sont les plus utiles pour toute l'Église et s'assurer que les réunions se déroulent dans l'harmonie.

Le créateur du ciel et de la terre a établi les lois physiques qui régissent l'univers; la même chose prévaut dans le domaine spirituel et donc dans l'Église. N'importe qui ne doit pas faire n'importe quoi n'importe comment et n'importe quand. Dieu désire que tout se fasse dans l'amour, l'ordre et la paix qui sont des attributs conformes à son caractère.


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