Études bibliques

Un programme d'étude de la Bible entière en cinq ans

Avril 2024
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19/04/2024

Luc - 7:44-8:34

Chapitre 7

Versets 44-48

Je suis à la fin de l'histoire de la pécheresse, qui est venue voir Jésus pour se faire pardonner. La scène se passe autour d'un repas dans la maison d'un chef religieux. À cette époque, tout le monde marchait en sandales sur les routes poussiéreuses. Lorsque quelqu'un organisait un souper, il s'assurait que ses invités se fassent laver les pieds par des serviteurs avant le repas.

Mais Simon, le chef religieux, ne l'avait pas fait, ce qui était une entorse aux bonnes manières. Il n'avait pas non plus ni embrassé, ni parfumé sa tête. Jésus reproche aussi à ce pharisien son hypocrisie qui le faisait condamner cette femme, alors que lui se considérait juste et sans fautes. Ne considérant même pas Jésus comme un prophète, il n'avait pas jugé nécessaire de le traiter de manière honorable. Je suis sûr que Simon qui était ainsi humilié a pâli de rage. Il n'a eu que ce qu'il méritait. Cette fille de la rue, par contre, avait reçu le pardon de ses fautes qu'elle était venue chercher auprès de Jésus.

Versets 49-50

Je finis le chapitre.

Jésus dit à la femme:? Tes péchés te sont pardonnés. Les autres invités se dirent en eux-mêmes: «Qui est donc cet homme qui ose pardonner les péchés?» Mais Jésus dit à la femme:? Parce que tu as cru en moi, tu es sauvée; va en paix (Luc 7.49-50).

Comme lors de la guérison du paralytique dont il pardonna les péchés, les auditeurs objectent. Cependant, Jésus s'est comporté comme le Messie, le Fils de Dieu, qui a tout pouvoir dans le ciel et sur la terre. Il s'adresse à la femme pour la première fois, afin de lui confirmer que ses péchés lui ont été remis, que sa dette envers Dieu est effacée. Le texte précise aussi que l'histoire de cette pécheresse qui était venue avec un vase de parfum, avait été une démarche de foi personnelle en Jésus-Christ.

Et c'est sur ce pardon que se termine ce chapitre 7 dans lequel Jésus a lui-même mis en pratique ce qu'il avait enseigné lors de son Sermon sur la Montagne. Ainsi, il a guéri l'esclave d'un officier romain, pourtant un païen, et rencontré une femme veuve qui fait partie de ces pauvres gens à qui il est venu annoncer la bonne nouvelle. Il ressuscite son fils. Ce passage confirme une nouvelle fois que ce sont les humbles et les pécheurs qui reconnaissent aussi bien Jean-Baptiste que Jésus comme envoyés de Dieu, tandis que les autorités religieuses les rejettent l'un comme l'autre.

Chapitre 8

Versets 1-3

Le chapitre 8 poursuit le précédent dans le sens que certains acceptent le pardon ainsi que le message du royaume que Jésus offre, tandis que d'autres, en particulier les autorités religieuses, les rejettent. Je commence à lire.

Quelque temps après, Jésus se rendit dans les villes et les villages pour y proclamer et annoncer la Bonne Nouvelle du royaume de Dieu. Il était accompagné des Douze et de quelques femmes qu'il avait délivrées de mauvais esprits et guéries de diverses maladies: Marie, appelée Marie de Magdala, dont il avait chassé sept démons, Jeanne, la femme de Chuza, administrateur d'Hérode, Suzanne et plusieurs autres. Elles assistaient Jésus et ses disciples de leurs biens (Luc 8.1-3).

Luc nous donne ici le cercle des intimes du Seigneur, dont les 12 apôtres qui observent et apprennent du Maître. Ils seront envoyés en mission plus tard. Mais est également présent un groupe de femmes plutôt aisées qui avaient été délivrées d'afflictions diverses et qui par reconnaissance assuraient la subsistance matérielle de toute l'équipe. Cependant, dans le contexte du monde antique, leur présence au sein des disciples, qui accompagnent un enseignant itinérant, est tout à fait inhabituelle. Maintenant, Jésus va donner la très fameuse parabole du Semeur à cette foule devant lui, afin d'avertir ceux qui l'écoutaient des obstacles qui allaient s'élever devant eux.

Versets 4-8

Je lis ce récit.

Une grande foule, ayant afflué de chaque ville, s'était rassemblée autour de lui. Alors Jésus leur raconta cette parabole:? Un semeur sortit pour faire ses semailles. Pendant qu'il répandait sa semence, des grains tombèrent au bord du chemin, furent piétinés par les passants, et les oiseaux du ciel les mangèrent. D'autres tombèrent sur de la pierre. À peine eurent-ils germé que les petits plants séchèrent parce que le sol n'était pas assez humide. D'autres grains tombèrent au milieu des ronces; celles-ci poussèrent en même temps que les bons plants et les étouffèrent. Mais d'autres tombèrent dans la bonne terre; ils germèrent et donnèrent du fruit: chaque grain en produisit cent autres. Et Jésus ajouta:? Celui qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! (Luc 8.4-8).

Jésus utilise fréquemment cette dernière expression. Elle signifie que les personnes ouvertes à Dieu sont aptes à discerner la signification spirituelle de ce qu'il enseigne.

Versets 9-15

Je continue.

Les disciples lui demandèrent ce que signifiait cette parabole. Il leur dit:? Vous avez reçu le privilège de connaître les secrets du royaume de Dieu, mais pour les autres, ces choses sont dites en paraboles. Ainsi, bien qu'ils regardent, ils ne voient pas; bien qu'ils entendent, ils ne comprennent pas.? Voici donc le sens de cette parabole: La semence, c'est la Parole de Dieu. «Au bord du chemin»: ce sont les personnes qui écoutent la Parole, mais le diable vient l'arracher de leur coeur pour les empêcher de croire et d'être sauvées. «Sur de la pierre»: ce sont ceux qui entendent la Parole et l'acceptent avec joie; mais, comme ils ne la laissent pas prendre racine en eux, leur foi est passagère. Lorsque survient l'épreuve, ils abandonnent tout. «La semence tombée au milieu des ronces» représente ceux qui ont écouté la Parole, mais en qui elle est étouffée par les soucis, les richesses et les plaisirs de la vie, de sorte qu'elle ne donne pas de fruit. Enfin, «la semence tombée dans la bonne terre», ce sont ceux qui, ayant écouté la Parole, la retiennent dans un coeur honnête et bien disposé. Ils persévèrent et ainsi portent du fruit (Luc 8.9-15).

Le Seigneur parle en paraboles afin que ceux, qui refusent son message au sujet du royaume, demeurent davantage dans l'ignorance. C'est évidemment un jugement à leur encontre. Le semeur, c'est bien sûr Jésus et les oiseaux du ciel représentent le diable. Les quatre types de sol désignent des personnes. Elles reçoivent toutes la même bonne nouvelle. Au fur et à mesure que le ministère de Jésus progressa, chacun de ces groupes se révéla au grand jour.

Les chefs religieux sont ceux au bord du chemin. Ils ne croient pas au Christ. Ceux qui suivaient Jésus à cause de ses prodiges sont représentés par le roc. Leur foi passagère ne tient qu'à un fil. Ils dépendent de leurs émotions quand tout va bien. Le troisième groupe est étouffé par les ronces. Ce sont des personnes bien nanties qui reconnaîtront en Jésus un être surnaturel, mais qui seront incapables de lâcher leurs richesses afin de le suivre. Finalement, certains persévéreront avec Christ jusqu'au bout malgré le coût à payer, qui sera particulièrement élevé pour tous les apôtres. L'attitude du disciple par rapport aux biens matériels et aux épreuves est primordiale pour Jésus et il en parle régulièrement.

Versets 16-18

Je continue avec la parabole suivante.

? Personne n'allume une lampe pour la cacher sous un récipient, ou la mettre sous un lit; on la place, au contraire, sur un pied de lampe pour que ceux qui entrent dans la pièce voient la lumière. Tout ce qui est caché maintenant finira par être mis en lumière, et tout ce qui demeure secret sera finalement connu et paraîtra au grand Jour. Faites donc attention à la manière dont vous écoutez, car à celui qui a, on donnera encore davantage; mais à celui qui n'a pas, on ôtera même ce qu'il croit avoir (Luc 8.16-18).

Ce récit est une suite logique à celui du Semeur. L'accent est mis sur l'importance d'écouter le message de Jésus. Si quelqu'un reçoit la parole de Dieu, sa vie devra refléter cette compréhension, car la lumière de la connaissance induit une responsabilité. Celui qui connaît les mystères du royaume ne doit pas les garder cachés, mais a le devoir de les faire connaître autour de lui. À ceux qui cherchent à comprendre les paroles de Jésus, il sera donné davantage de lumière. L'inverse joue aussi. Celui qui ne s'intéresse pas aux réalités qui concernent le royaume de Dieu oubliera le peu qu'il avait saisi.

Versets 19-21

Je continue le texte.

La mère et les frères de Jésus vinrent le trouver; mais ils ne purent pas l'approcher à cause de la foule. On lui fit dire:? Ta mère et tes frères sont là dehors et ils voudraient te voir. Mais Jésus leur répondit:? Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui font ce qu'elle demande (Luc 8.19-21).

Jésus est informé que des personnes de sa parenté veulent le voir alors qu'il est en plein travail pou ainsi dire. Il est en train d'instruire ceux qui se réclament de ses disciples. C'est l'occasion pour lui de remettre les pendules à l'heure en ce qui concerne l'immense supériorité de la relation avec Dieu par rapport aux liens familiaux. Il utilise cet incident pour continuer la logique de son enseignement précédent, mais il enfonce le clou. L'appartenance à la famille de Jésus se définit par un engagement volontaire, en réponse au message qu'il annonce. Mais la véritable acceptation de la Parole de Dieu se traduit par sa mise en pratique dans la vie quotidienne. Il faut écouter, entendre et agir.

Versets 22-25

Je continue.

Un jour, Jésus monta dans une barque avec ses disciples et leur dit:? Passons de l'autre côté du lac ! Ils gagnèrent le large. Pendant la traversée, Jésus s'assoupit. Soudain, un vent violent se leva sur le lac. L'eau envahit la barque. La situation devenait périlleuse. Les disciples s'approchèrent de Jésus et le réveillèrent en criant:? Maître, Maître, nous sommes perdus ! Il se réveilla et parla sévèrement au vent et aux flots tumultueux: ils s'apaisèrent, et le calme se fit. Alors il dit à ses disciples:? Où est donc votre foi? Quant à eux, ils étaient saisis de crainte et d'étonnement, et ils se disaient les uns aux autres:? Qui est donc cet homme? Voyez: il commande même aux vents et aux vagues, et il s'en fait obéir ! (Luc 8.22-25).

La traversée, au début paisible, est soudainement interrompue par un grand tourbillon, chose banale sur ce lac entouré de hautes collines et d'étroites vallées, qui donne lieu à de forts courants d'air. Les flots tumultueux se déversent avec furie dans la barque qui commence à se remplir d'eau. Épuisé par une journée d'enseignement, Jésus dormait du sommeil du juste. Il n'était aucunement troublé par la tempête qui ne l'avait même pas réveillé. Pourtant, le bruit devait être infernal avec le vent violent et la mer en furie. Réveillé de force, il intervient.

Un texte parallèle nous informe que Jésus a littéralement dit à la mer et au vent: Tais-toi et ne parle plus ! Il s'adresse à eux comme on parlerait à un chien fou furieux, qui tirerait sur sa laisse en aboyant à gorge déployée. Sur son ordre, les éléments se calment immédiatement. Même le lac redevient d'huile, alors que normalement après une tempête il faut du temps pour que l'eau retrouve son calme. Jusqu'à présent, Luc nous a montré que Jésus avait autorité sur les maladies, les démons, la mort et maintenant les éléments naturels. Ce n'est pas étonnant que les apôtres soient en état de choc. Malheureusement, leur confiance en Jésus a fait naufrage. C'est dans les moments d'épreuve et de détresse que la foi en Dieu devrait intervenir. Les disciples ont failli, et souvent je suis comme eux.

Versets 26-27

Je continue.

Ils abordèrent dans la région de Gérasa, située en face de la Galilée. Au moment où Jésus mettait pied à terre, un homme de la ville, qui avait plusieurs démons en lui, vint à sa rencontre. Depuis longtemps déjà, il ne portait plus de vêtements et demeurait, non dans une maison, mais au milieu des tombeaux (Luc 8.26-27).

Les démons sont des entités spirituelles méchantes. Ce ne sont pas des êtres imaginaires comme les lutins, les gnomes, les satyres, ou autres personnages qu'on rencontre dans les contes de fées ou plus récemment dans l'histoire du Seigneur des anneaux, dans laquelle figurent les elfs, les orques, trolls, balrogs, astaris etc.

La possession démoniaque est une réalité aussi vraie et actuelle que les maladies cardiaques, les cancers ou le rhume des foins. Le démonisme est toujours associé à l'idolâtrie et les religions païennes, voire à certaines pratiques issues de la chrétienté au sens large du terme. Le philosophe grec Homère considérait les dieux et les démons comme la même chose. Un autre philosophe les déclare tous bons et un troisième qu'ils sont à la fois bons et mauvais. Aujourd'hui, la sagesse populaire les qualifie de dangereux sans trop savoir ni pourquoi ni comment, ni s'ils existent vraiment. Bref, la plus grande confusion règne en ce qui les concerne.

D'après l'enseignement des Textes sacrés, il existe les anges qui sont au service de Dieu et les démons qui sont les émissaires de Satan. Ces derniers étaient à l'origine des êtres de lumière qui se sont rebellés contre leur Créateur. Voilà pour un petit arrière-plan de ces esprits mauvais. La petite troupe arrive en barque à Gérasa, qui s'appelle Kersa aujourd'hui. C'était à la fois une région et une ville importante située à l'est du lac de Galilée. À l'origine, ce territoire appartenait à la tribu d'Israël du nom de Gad. Mais au premier siècle de notre ère, il était à majorité non-juif. Ce démoniaque vivait dans les tombeaux qui se trouvaient dans des cavernes naturelles ou creusées et qui constituaient une protection contre les intempéries.

Versets 28-29

Je continue.

Quand il vit Jésus, il se jeta à ses pieds en criant de toutes ses forces:? Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu très-haut? Je t'en supplie: ne me tourmente pas ! Il parlait ainsi parce que Jésus commandait à l'esprit mauvais de sortir de cet homme. En effet, bien des fois, l'esprit s'était emparé de lui; on l'avait alors lié avec des chaînes et on lui avait mis les fers aux pieds pour le contenir; mais il cassait tous ses liens, et le démon l'entraînait dans des lieux déserts (Luc 8.28-29).

Trois choses indiquent que le démon qui possédait cet homme était pleinement conscient de l'origine divine et de la puissance supérieure de Jésus:

  • il est forcé de s'agenouiller devant Lui par hommage, car il est devant son Créateur;
  • il utilise le nom divin de Jésus;
  • et il Le supplie de ne pas le punir.

Le démon savait que sa rencontre avec le Christ allait mettre fin à sa carrière de tourmenteur. S'il avait pu, il se serait enfui, mais il fut contraint d'aller au-devant de Jésus et de s'humilier devant lui. D'une force herculéenne, ce forcené terrorisait la région. Une telle conduite extrême montre bien que la possession démoniaque n'est pas une simple maladie ou une aliénation mentale, mais indique la présence d'une entité spirituelle mauvaise.

Versets 30-33

Je continue.

Jésus lui demanda:? Quel est ton nom?? Légion, répondit-il. Car une multitude de démons étaient entrés en lui. Ces démons supplièrent Jésus de ne pas leur ordonner d'aller dans l'abîme. Or, près de là, un important troupeau de porcs était en train de paître sur la montagne. Les démons supplièrent Jésus de leur permettre d'entrer dans ces porcs. Il le leur permit. Les démons sortirent donc de l'homme et entrèrent dans les porcs. Aussitôt, le troupeau s'élança du haut de la pente et se précipita dans le lac, où il se noya (Luc 8.30-33).

De nombreuses puissances mauvaises contrôlaient cet homme et le soumettaient à une torture permanente. Une légion romaine était composée de 3 à 6 000 hommes. À plusieurs reprises, le démon porte-parole supplie instamment Jésus de ne pas les envoyer dans l'abîme, une fosse sans fond où sont déjà enfermés certains de leurs compatriotes enchaînés éternellement par les ténèbres selon un texte du Nouveau Testament. La religion juive considérait les pourceaux comme des animaux impurs.

Mais les fermiers du coin élevaient ces animaux pour les marchés du district de La Décapole, une ligue de dix villes grecques dont celle de Gérasa où a lieu cet incident. Quoi qu'il en soit, les démons voulaient entrer dans les pourceaux comme leurs nouveaux hôtes. Ils savaient qu'ils étaient soumis à l'ordre de Jésus, et ils tentent une manoeuvre désespérée pour éviter d'être réduits à un état désincarné. En fin de compte, ce cheptel est détruit, ce qui constitue un jugement contre les Juifs de cette ville qui élevaient des porcs. Les mauvais esprits aussi furent punis, parce que finalement ils se retrouvent en exil on ne sait où.

Versets 34-39

Je continue.

Quand les gardiens du troupeau virent ce qui était arrivé, ils s'enfuirent et allèrent raconter la chose dans la ville et dans les fermes. Les gens vinrent se rendre compte de ce qui s'était passé. Ils arrivèrent auprès de Jésus et trouvèrent, assis à ses pieds, l'homme dont les démons étaient sortis. Il était habillé et tout à fait sain d'esprit. Alors la crainte s'empara d'eux. Ceux qui avaient assisté à la scène leur rapportèrent comment cet homme, qui était sous l'emprise des démons, avait été délivré. Là-dessus, toute la population du territoire des Géraséniens, saisie d'une grande crainte, demanda à Jésus de partir de chez eux. Il remonta donc dans la barque et repartit. L'homme qui avait été libéré des esprits mauvais lui demanda s'il pouvait l'accompagner, mais Jésus le renvoya en lui disant:? Rentre chez toi, et raconte tout ce que Dieu a fait pour toi ! Alors cet homme partit proclamer dans la ville entière tout ce que Jésus avait fait pour lui (Luc 8.34-39).

Cet homme fut transformé de manière si complète et radicale que les gens de la ville furent remplis de respect et de crainte. Ils étaient effrayés par l'autorité et le pouvoir de Jésus parce qu'ils avaient très mauvaise conscience. C'est vrai que le Seigneur avait mis fin avec perte et fracas à leur petit commerce d'élevage de porcs, et ça faisait désordre, ce qui n'est pas du tout bon pour les affaires. Cette perte économique est le principal souci des bergers ainsi que des habitants de la région. Ils avaient peur que Jésus fasse le grand ménage de printemps dans leur cité. Ils préféraient la présence des porcs à celle du Fils de Dieu.


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