Études bibliques

Un programme d'étude de la Bible entière en cinq ans


22/04/2024

Luc - 10:17-11:9

Chapitre 10

Versets 17-20

Je suis dans le chapitre 10 de Luc. Jésus a envoyé 70 disciples opérer des guérisons et chasser les démons: un ministère à couper le souffle à quiconque. Cependant, Jésus leur dit que de faire des miracles n'est rien. Ce qui compte avant toute chose c'est de posséder la vie éternelle et d'être en communion avec Dieu.

Versets 21-24

Je continue le texte.

Au même moment, Jésus fut transporté de joie par le Saint-Esprit et s'écria:? Je te loue, ô Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces vérités aux sages et aux intelligents, et que tu les as dévoilées à ceux qui sont tout petits. Oui, Père, car dans ta bonté, tu l'as voulu ainsi. Mon Père a remis toutes choses entre mes mains. Personne ne sait qui est le Fils, si ce n'est le Père; et personne ne sait qui est le Père, si ce n'est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. Puis, se tournant vers ses disciples, il leur dit en particulier:? Heureux ceux qui voient ce que vous voyez ! Car, je vous l'assure: beaucoup de prophètes et de rois auraient voulu voir ce que vous voyez, mais ne l'ont pas vu; ils auraient voulu entendre ce que vous entendez, mais ne l'ont pas entendu (Luc 10.21-24).

Luc mentionne fréquemment l'action du Saint-Esprit dans la vie du Christ. Les gens qui suivaient Jésus n'étaient pas considérés comme des sages ou des intelligents, mais comme des minus, des personnes négligeables sans instruction ou statut social. Cependant, ils jouissaient de l'immense privilège de marcher aux côtés du Messie ce qui ne fut pas le privilège ni d'Abraham, ni de Moïse, ni du grand roi David ou Salomon, ni d'aucun autre prophète ou dirigeant d'Israël.

Verset 25

Je continue.

Un enseignant de la Loi se leva et posa une question à Jésus pour lui tendre un piège.? Maître, lui dit-il, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle? (Luc 10.25).

Ce responsable religieux n'était pas un homme de loi comme nous l'entendons. Mais par son esprit tordu, il me fait penser à une histoire que j'ai lue. Deux avocats qui s'opposaient lors d'un procès très controversé se présentèrent devant le juge. Celui-ci déclara la séance ouverte. Alors, le ton monta et ils se traitèrent mutuellement de menteurs et de voleurs. Le juge rétablit l'ordre et dit: Maintenant que les hommes de loi ont révélé leur identité, nous pouvons commencer ! L'enseignant de la loi de cette histoire, quoiqu'hypocrite, posa une excellente question à laquelle Jésus va répondre en lui en adressant deux autres.

Versets 26-28

Je continue.

Jésus lui répondit:? Qu'est-il écrit dans notre Loi? Comment la comprends-tu? Il lui répondit:? Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ton énergie et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même.? Tu as bien répondu, lui dit Jésus: fais cela, et tu auras la vie (Luc 10.26-28).

Jésus ramène ce religieux à l'enseignement donné par Moïse et cet homme révèle sa capacité à bien interpréter la loi. Sa réponse est juste. En théorie, il était possible d'obtenir la vie éternelle en obéissant à toutes les ordonnances de l'Ancien Testament. Cependant, aucun homme n'en a jamais été capable à cause de sa nature dégénérée qui le pousse au mal. C'est pourquoi l'apôtre Paul affirme et je le cite:

Nous avons placé notre confiance en Jésus-Christ pour être déclarés justes par la foi et non parce que nous aurions accompli ce qu'ordonne la Loi. Car, comme le dit l'Écriture: Personne ne sera déclaré juste devant Dieu parce qu'il aura accompli ce qu'ordonne la Loi (Galates 2.16).

Verset 29

Je continue.

Mais l'enseignant de la Loi, voulant se donner raison, reprit:? Oui, mais qui donc est mon prochain? (Luc 10.29).

La réponse de l'homme à Jésus aurait dû être: Comment puis-je faire cela? Je n'en suis pas capable. J'ai bien essayé, mais sans vraiment y parvenir. Comment donc obtenir la vie éternelle dans ses conditions? Au lieu de cela, il cherche des poux à Jésus. Malgré la mauvaise foi évidente de cet homme, le Seigneur va répondre à sa question, sans aucun doute par la même occasion, pour enseigner ses disciples qui sont là tout autour de lui.

Versets 30-32

Je lis la suite.

En réponse, Jésus lui dit:? Il y avait un homme qui descendait de Jérusalem à Jéricho, quand il fut attaqué par des brigands. Ils lui arrachèrent ses vêtements, le rouèrent de coups et s'en allèrent, le laissant à moitié mort. Or il se trouva qu'un prêtre descendait par le même chemin. Il vit le blessé et, s'en écartant, poursuivit sa route. De même aussi un lévite arriva au même endroit, le vit, et, s'en écartant, poursuivit sa route (Luc 10.30-32).

La route sinueuse et escarpée qui descendait de Jérusalem à Jéricho sur 30 km, était réputée dangereuse. On attendait de la miséricorde du prêtre qui représente le formalisme et occupait un rang très honorable en Israël. Eh bien non, pensant que cet homme était peut-être mort, il serait devenu rituellement impur en le touchant, et le processus de purification est long, compliqué et onéreux. Alors, ce type n'a qu'à aller mourir ailleurs. Le Lévite, lui, était un employé du temple. Très légaliste, il ne veut pas non plus se souiller ni perdre son temps. Il doit suivre les ordonnances de la loi à la lettre. Il a donc autre chose à faire que de s'occuper d'un compatriote juif qui s'est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment.

Versets 33-35

Je continue.

Mais un Samaritain qui passait par là arriva près de cet homme. En le voyant, il fut pris de pitié. Il s'approcha de lui, soigna ses plaies avec de l'huile et du vin, et les recouvrit de pansements. Puis, le chargeant sur sa propre mule, il l'emmena dans une auberge où il le soigna de son mieux. Le lendemain, il sortit deux pièces d'argent, les remit à l'aubergiste et lui dit: «Prends soin de cet homme, et tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rembourserai moi-même quand je repasserai» (Luc 10.33-35).

Les Samaritains étaient méprisés par les Juifs parce qu'ils étaient de descendance à la fois juive et païenne, donc des hybrides impurs. Quelle horreur ! Ironiquement, c'est cet étranger qui est pris de pitié pour ce blessé et qui lui vient en aide. Son action met en avant l'ampleur de sa compassion. Il s'arrête sur une route dangereuse; il donne de ses biens et de son temps; et il s'engage pour les dépenses à venir en prenant un risque indéterminé. C'est le Samaritain, qui exemplifie la philosophie chrétienne: Ce que je possède, je l'utilise pour aider ceux qui sont dans le besoin.

Versets 36-37

Je continue.

Et Jésus ajouta:? À ton avis, lequel des trois s'est montré le prochain de l'homme qui avait été victime des brigands?? C'est celui qui a eu pitié de lui, lui répondit l'enseignant de la Loi.? Eh bien, va, et agis de même, lui dit Jésus (Luc 10.36-37).

Jésus renvoya l'ascenseur à son interlocuteur. L'enseignant s'attendait à ce que Jésus lui demande: Le blessé est-il mon prochain? Au lieu de cela, il lui pose une question bien plus percutante qui définit le comportement juste. Jésus présente le Samaritain comme quelqu'un qui accomplit la Loi telle qu'elle a été définie plus haut par le religieux lui-même, lorsqu'il a dit: Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ton énergie et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même.

Le Seigneur enseigna qu'une personne doit être le prochain de quiconque se trouve dans le besoin, lui-même étant l'exemple suprême. Sa compassion contraste avec celle des chefs religieux qui ne s'intéressent qu'à la pureté rituelle et se moquent éperdument de ceux qui périssent. Jésus, lui, a non seulement délaissé sa gloire céleste, mais est devenu un simple homme afin de s'offrir en sacrifice pour racheter la race humaine maudite. Nos contemporains sont semblables à cet homme qui est tombé aux mains des brigands. Ils sont des jouets entre les mains du diable, qui les tient par sa philosophie de vie athée et individualiste, l'argent et les plaisirs. Ceux qui se disent croyants devraient se conduire en bon Samaritain envers eux et leur annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ.

Versets 38-42

Je continue le texte jusqu'à la fin du chapitre 10.

Pendant qu'ils étaient en route, Jésus entra dans un village. Là, une femme nommée Marthe l'accueillit dans sa maison. Elle avait une soeur appelée Marie. Celle-ci vint s'asseoir aux pieds de Jésus, et elle écoutait ce qu'il disait. Pendant ce temps, Marthe était affairée aux multiples travaux que demandait le service. Elle s'approcha de Jésus et lui dit:? Maître, cela ne te dérange pas de voir que ma soeur me laisse seule à servir? Dis-lui donc de m'aider. Mais le Seigneur lui répondit:? Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour beaucoup de choses; il n'y en a qu'une seule qui soit vraiment nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, et personne ne la lui enlèvera (Luc 10.38-42).

Jésus est à Béthanie, un village à quelques km de Jérusalem. C'est là qu'il demeura au cours de sa dernière semaine sur terre. Marie s'assit et écoute le Seigneur, tandis que sa soeur s'affaire à préparer le repas. Très vite, elle se sentit frustrée d'être la seule à faire tout le boulot. L'enseignement n'est pas qu'on ne doit pas s'occuper des tâches domestiques et de servir autrui ? ce qui au contraire est très valorisé dans les Évangiles ? , mais l'essentiel est d'être attentif à Jésus et d'obéir à sa parole. Dans la vie trépidante que la plupart d'entre nous menons, lorsque je sens le niveau de stress et d'agacement monter, c'est le moment pour moi de m'isoler un peu et de me ressourcer en cherchant la communion avec Dieu.

Chapitre 11

Verset 1

Nous voici rendus au chapitre 11 de cet Évangile, qui débute par un enseignement sur la prière. Je commence à lire.

Un jour, Jésus priait en un certain lieu. Quand il eut fini, l'un de ses disciples lui demanda:? Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean l'a appris à ses disciples ! (Luc 11.1).

Jésus avait l'habitude de prier régulièrement et en particulier dans tous les moments importants de sa vie comme lors de son baptême, ou encore quand il choisit les 12 apôtres. Il priait souvent seul, mais aussi avec les plus proches de ses disciples comme Pierre, Jacques et Jean. Plus tard, il priera pour Simon Pierre en le mettant en garde avant que celui-ci ne le renie. Il s'adressera à son Père, alors qu'il est dans un tourment indescriptible juste avant d'être livré aux autorités religieuses. Il priera même lorsqu'il sera pendu sur la croix. L'un des disciples, qui connaît assez bien Jésus, a été impressionné par sa vie de prière et voudrait pouvoir l'imiter dans ce domaine.

Certains de son cercle d'intimes sont prêts à recevoir son enseignement sur ce sujet. Il est cependant étonnant d'entendre des Juifs pieux, et qui donc priaient régulièrement, poser une telle question. Ils devaient avoir l'impression que leur façon de s'adresser à Dieu n'était qu'un rituel répétitif creux. C'est pourquoi ils désirent connaître le secret de cette intimité que Jésus entretient avec son Père céleste. Ce n'était pas une technique, un art ou un autre rituel qu'ils recherchaient, mais c'était de s'adresser à Dieu comme lui. En fait, même aujourd'hui, à l'heure où je vous parle, Jésus prie pour les siens. Voici le passage du Nouveau Testament qui l'affirme:

Qui accusera encore les élus de Dieu? Dieu lui-même les déclare justes. Qui les condamnera? Le Christ est mort, bien plus: il est ressuscité ! Il est à la droite de Dieu et il intercède pour nous (Romains 8.33-34).

Beaucoup de gens récitent des prières, souvent toutes faites, comme une litanie. Dans le temps, après s'être brossé les dents, les enfants mettaient leur pyjama, puis faisaient leur prière. J'ai d'ailleurs lu une histoire à la fois drôle et quelque peu tragique à ce sujet. Je vais la raconter. Dans ma famille, je n'avais jamais entendu une seule prière. À l'âge de 12 ans, je partis en colonie de vacances. Le premier soir comme les suivants, avant de nous coucher, le moniteur a dit à tous ceux qui étaient dans son dortoir de mettre notre pyjama puis de nous rassembler pour la prière. Ma première impression était que le pyjama était l'uniforme de la prière. Il fallait revêtir cette tenue et pas une autre pour pouvoir prier. Certes, cette vision des choses était ridicule, mais en toute franchise, j'ai besoin que quelqu'un m'apprenne à prier, et pas seulement à réciter des prières toutes faites, mais vraiment à m'approcher de mon Père céleste.

En effet, Dieu n'est pas impressionné par mes grands airs, une voix particulière et un langage fleuri. Les prières prétentieuses le fatiguent. Il me connaît bien mieux que moi-même et il désire que je m'exprime le plus simplement du monde.

Versets 2-4

Je continue avec le modèle de Jésus qu'on appelle couramment le Notre Père.

Il leur répondit:? Quand vous priez, dites: Père, que tu sois reconnu pour Dieu, que ton règne vienne. Donne-nous, chaque jour, le pain dont nous avons besoin. Pardonne-nous nos péchés, car nous pardonnons nous-mêmes à ceux qui ont des torts envers nous. Et garde-nous de céder à la tentation (Luc 11.2-4).

Jésus commence en parlant directement à Dieu en tant que Père. C'était assez caractéristique de la façon dont il priait. Il lui adresse alors 5 requêtes. Les deux premières concernent les intérêts de Dieu:

  • tout d'abord, que son nom soit traité comme saint à l'opposé de tout le reste qui est profane; en d'autres mots, que sa réputation soit honorée. Cela veut bien sûr aussi dire qu'il ne faut pas utiliser son nom à tort et à travers comme dans l'expression si fréquente «Oh mon Dieu !»
  • La deuxième demande est que le royaume de Dieu soit établi sur terre. C'est ce que Jean-Baptiste, puis les 12 et enfin les 70 disciples avaient annoncé. Cela correspond au désir de voir la volonté de Dieu s'accomplir ici-bas.
  • La troisième requête est de recevoir la nourriture nécessaire à la vie du corps. Cela inclut aussi tous les autres besoins physiques comme avoir un toit sur la tête.
  • En quatrième lieu, je dois demander le pardon de mes fautes. La miséricorde que Dieu exerce en ma faveur doit me permettre de pardonner à ceux qui m'ont fait du mal. Une attitude de clémence à l'égard des autres est essentielle pour que ma prière soit efficace. Celui qui a expérimenté le pardon de Dieu est dans l'obligation de l'accorder pareillement à ceux qui l'auraient offensé, sinon Dieu ne l'exaucera pas. La rancune fait obstacle à l'intervention divine dans la vie du croyant.
  • La dernière requête est que Dieu me délivre des situations qui me feraient chuter. Nul n'est imperméable à toutes les sollicitations de ce bas monde. Il me suffirait d'un certain concours de circonstances pour que finalement je cède à la tentation. L'orgueil, un des 7 péchés capitaux, dit-on, est particulièrement dangereux. Car si je me prétends sûr de moi et assez fort pour aller jusqu'à un certain point et pas plus loin, je suis en zone rouge. Je suis certain que vous pouvez penser à une circonstance où il vous serait extrêmement difficile de résister à une tentation, même si vous savez que vous vous en mordrez les doigts ensuite. Mais si je choisissais malgré tout de me placer dans une telle situation, je ferais ce qu'on appelle tenter le diable, et alors là ce serait à mes risques et périls.

Jésus n'a pas terminé avec ce sujet et il va continuer son enseignement à l'aide de deux paraboles. La première concerne la persévérance dans la prière.

Versets 5-8

Je continue le texte.

Puis il ajouta:? Supposez que l'un de vous ait un ami et qu'il aille le réveiller en pleine nuit pour lui dire: «Mon ami, prête-moi trois pains, car un de mes amis qui est en voyage vient d'arriver chez moi et je n'ai rien à lui offrir.» Supposons que l'autre, de l'intérieur de la maison, lui réponde: «Laisse-moi tranquille, ne me dérange pas, ma porte est fermée, mes enfants et moi nous sommes couchés, je ne peux pas me lever pour te les donner.» Je vous assure que, même s'il ne se lève pas pour lui donner ces pains par amitié pour lui, il se lèvera pour ne pas manquer à l'honneur, et il lui donnera tout ce dont il a besoin (Luc 11.5-8).

Je vais actualiser cette parabole. C'est comme si vous rentrez de vacances un samedi soir et que le frigo est vide. Un message sur le répondeur téléphonique vous informe que votre belle-mère arrivera sur les coups de 23 h. Il est presque minuit et alors que vous l'aidez avec sa valise et certain qu'elle a dîné en route, vous lui demandez comme ça en passant si elle a faim. Elle répond qu'elle dévorerait un boeuf entier, car elle n'a pas pris le temps de s'arrêter. Zut alors ! Tous les magasins sont fermés et je n'ai rien à lui offrir. Je cours chez le voisin que je réveille. Il me demande si j'ai vu l'heure; c'est plus de minuit. Il n'est pas content du tout. Mais comme j'insiste, il finit par m'ouvrir sa maison, son frigo et son garde-manger.

Versets 9-13

Je continue le texte.

? Ainsi, moi je vous le dis: Demandez, et vous recevrez; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira. Car celui qui demande reçoit; celui qui cherche trouve; et l'on ouvre à celui qui frappe. Il y a des pères parmi vous. Lequel d'entre vous donnera un serpent à son fils quand celui-ci lui demande un poisson? Ou encore, s'il demande un oeuf, lui donnera-t-il un scorpion? Si donc, tout mauvais que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent (Luc 11.9-13).

Les trois verbes, demander, chercher, frapper, concernent les demandes qui ont trait au désir de voir le royaume de Dieu et sa justice établis sur terre ainsi qu'à de véritables besoins de vie. Dieu n'est pas endormi lorsqu'on le prie. Au contraire, sa porte est grande ouverte.


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