Études bibliques

Un programme d'étude de la Bible entière en cinq ans


06/04/2024

Lévitique - 25:5-44

Chapitre 25

Versets 5-7

Le chanteur britannique John Lennon a composé un tube à grand succès qui s'appelle Imagine. J'aime bien cette chanson parce qu'elle fabrique un monde idyllique qui me fait penser à ce que l'Éternel avait en vue pour notre planète et va réaliser un jour. Une des caractéristiques de cette vie idéale est l'année sabbatique pour la terre qui pendant 365 jours appartiendrait à tous riches et pauvres. Il en est question dans le chapitre 25 du Lévitique. Ce repos sabbatique a un but de bienfaisance envers les indigents qui étaient ainsi admis au privilège des propriétaires. Ils pouvaient librement aller récolter ce qui avait poussé tout seul.

Mais l'objectif essentiel de cette année sabbatique était pédagogique. Dieu voulait ainsi rappeler à Israël tous les 6 ans ce grand principe énoncé un peu plus loin: Le pays m'appartient et vous êtes chez moi des étrangers et des immigrés. La terre n'appartenait pas aux Israélites, mais ils en étaient le gérant pour l'Éternel. Sur sept jours d'une semaine, Dieu en réclamait un dont il disait: C'est le mien ! Ce sabbat hebdomadaire était pour le bénéfice de l'homme. Il se rapporte à la création lorsque Dieu s'est reposé de son travail de six jours, une fois celui-ci terminé. De même, l'année sabbatique était pour le bénéfice de la terre. Après que l'Éternel ait donné pendant six années ses biens à Israël par le moyen de ses propriétés, Il s'en réservait une septième. Il rappelait ainsi à son peuple qu'il n'était que locataire sur ce sol dont Lui, Dieu, était le vrai propriétaire.

Cette pratique avait pour but de créer chez l'Israélite, un état d'esprit de dépendance, de confiance, de reconnaissance et par là même aussi de compassion et de bienfaisance envers autrui. Mais l'observation d'une telle loi impliquait de la part du peuple élu une foi vivante en son Dieu. Or l'histoire d'Israël est essentiellement une démonstration de désobéissance malgré tous les prodiges que ce peuple a vécus. Plusieurs passages écrits par l'historien juif Josèphe indiquent que cette année sabbatique n'a jamais été véritablement suivie.

Versets 8-19

Je continue le texte.

Vous compterez sept années de repos, soit sept fois sept ans, c'est-à-dire une période de quarante-neuf ans. Le dixième jour du septième mois, le Jour des expiations, vous ferez retentir le son du cor à travers tout le pays. Vous déclarerez année sainte cette cinquantième année et, dans tout le pays, vous proclamerez la libération de tous ses habitants. Ce sera pour vous l'année du jubilé; chacun retrouvera la possession de sa terre, et chacun retournera dans sa famille. La cinquantième année sera donc pour vous l'année du jubilé: vous ne sèmerez pas, vous ne moissonnerez pas ce que les champs auront produit d'eux-mêmes durant cette année, et vous ne vendangerez pas la vigne non taillée, car c'est l'année du jubilé; vous la tiendrez pour sainte; vous mangerez ce qui aura poussé dans les champs. En cette année jubilaire, chacun de vous retournera dans sa propriété. Si donc vous vendez une propriété à votre compatriote, ou si vous en achetez une de lui, qu'aucun de vous ne lèse son compatriote. Vous fixerez le prix d'achat ou de vente d'une terre en tenant compte du nombre d'années écoulées depuis le dernier jubilé, et donc du nombre d'années de récolte jusqu'au prochain jubilé. Selon qu'il reste plus ou moins d'années, le prix d'achat sera élevé ou faible, car, en fait, ce qui est vendu, c'est un certain nombre de récoltes. Que nul de vous ne lèse donc son prochain, mais montrez que vous révérez votre Dieu; car je suis l'Éternel, votre Dieu. Vous obéirez à mes commandements, vous observerez mes lois et vous les appliquerez; ainsi vous demeurerez dans le pays en sécurité; et la terre vous donnera ses fruits, vous mangerez à satiété et vous mènerez une existence paisible (Lévitique 25.8-19).

Nous avons ici encore des multiples de 7. Après un cycle de sept fois sept années révolu, devait se célébrer une année de jubilé. De nos jours, les locations se font au moyen d'un bail. C'est en fait l'Éternel qui a inventé cette idée. Cette fête revenait ainsi tous les cinquante ans, deux par siècles. Non seulement, en cette année-là, la terre se reposait comme lors des années sabbatiques, mais les propriétés qui avaient été hypothéquées retournaient à leurs anciens propriétaires. D'autre part, les Israélites qui s'étaient vendus ou plutôt loués comme travailleurs forcés recouvraient leur liberté, et cela, quels que fussent leurs maîtres, Israélites ou étrangers établis dans le pays.

Il en résultait que les terres n'étaient jamais perdues de manière définitive par la famille qui les avait reçues en héritage lors du partage du pays. L'acheteur n'acquérait en réalité que le nombre de récoltes qui restait jusqu'à l'année de jubilé. Le prix d'achat était déterminé en conséquence. Quant aux Israélites devenus pauvres, si malgré les secours qu'ils avaient reçus ils finissaient par se vendre comme ouvriers, ils devaient être bien traités. Ils avaient toujours la possibilité de se racheter eux-mêmes ou de l'être par un membre de leur famille. De toute façon, et comme je l'ai dit, le prix était calculé en fonction du nombre des années qui restait jusqu'au prochain jubilé.

Cette grande fête, célébrée deux fois par siècle, débutait au soir du Grand Jour des expiations, le Yom Kippour de la 49e année. Ainsi donc, après qu'Israël ait obtenu le pardon de toutes ses transgressions, la nation proclamait une année de liberté pour toutes les personnes aux travaux forcés, et la récupération des propriétés perdues. Les trompettes des prêtres retentissaient d'un bout à l'autre du pays sur le sol de la Palestine et donnaient le signal du rétablissement de toutes choses et de tout Israélite dans leur état primitif. Toutes les hypothèques étaient levées, et tous recouvraient leurs droits de fils et fille d'Israël. On remettait les pendules à l'heure pour ainsi dire.

Cette institution avait évidemment pour but d'empêcher la formation d'un paupérisme permanent, et l'asservissement d'une classe de la population par l'autre. La fête du jubilé reposait comme l'année sabbatique, sur le grand principe formulé un peu plus loin et que j'ai déjà cité: Le pays m'appartient et vous êtes chez moi des étrangers et des immigrés. En conséquence, les Israélites sont sur les terres de l'Éternel comme des locataires ou des fermiers; bien plus, c'est à Lui qu'appartiennent les personnes mêmes qui constituent la nation d'Israël. Ce n'est que vis-à-vis de Lui seul l'Éternel qu'ils doivent être esclaves. Voilà pourquoi ils ne sont pas libres de vendre définitivement ni leur liberté ni leur héritage.

Toute la législation de Moïse proclame le droit absolu de propriété que l'Éternel possède à la fois sur la terre qu'il a donnée à Israël et sur les membres de son peuple. Tout comme l'année sabbatique, il semble que le Jubilé ne fut jamais vraiment pratiqué. L'idée de cette fête est fantastique. Ce rétablissement périodique du peuple dans son état initial, au niveau des propriétés et des personnes est un chef d'oeuvre de liberté, égalité et fraternité. Si notre bas monde avait appliqué ces directives, il n'y aurait jamais eu de révolutions paysannes ni de doctrine communiste pour essayer par la force de rendre les gens égaux. Ce jubilé avait un caractère prophétique.

L'apôtre Pierre dans le Nouveau Testament parle du jour où l'univers entier sera restauré, comme Dieu l'a annoncé depuis des siècles par la bouche de ses saints prophètes (Actes 3.20-21). Ce temps futur de restauration de toutes choses verra la dette de l'humanité acquittée à tout jamais, et toute personne humaine affranchie pour n'avoir plus d'autre maître que Dieu lui-même. Alors, la sainteté et l'amour du prochain, le bien-être et le repos régneront sur la terre entière. Voilà l'idéal qu'anticipait l'année de jubilé. Cependant et en attendant, le véritable affranchissement se trouve en la personne du Christ, comme il l'a lui-même déclaré. Je le cite:

Vous connaîtrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres. Si donc c'est le Fils qui vous donne la liberté, alors vous serez vraiment des hommes libres (Jean 8.32, 36).

Versets 20-22

Je continue le texte du Lévitique.

Peut-être direz-vous: «Que mangerons-nous la septième année puisque nous n'aurons ni semé ni rentré de récoltes?» Sachez que la sixième année, je répandrai ma bénédiction sur vous, en vous assurant une récolte suffisante pour trois ans. Lorsque vous sèmerez la huitième année, vous vivrez encore sur l'ancienne récolte dont vous mangerez même jusqu'à la récolte de la neuvième année (Lévitique 25.20-22).

Les termes de sixième, septième, huitième et neuvième désignent les années religieuses qui vont d'une Pâque à l'autre. La sixième année correspond à la fois à l'avant-dernière du cycle de sept ans, et la 48e année du cycle de 50 ans aboutissant à un jubilé. C'est un peu compliqué. Donc tous les 50 ans il y a deux années de suite sans labour ni semailles: la 49e et la 50e . C'est la dernière récolte de la 48e année que Dieu promet de rendre particulièrement abondante. Ce n'est qu'en automne de la 50e année qu'on sème de nouveau, mais la récolte n'étant mûre que dans le cours de l'été suivant de la 51e année, il faut encore vivre toute la première partie de celle-ci sur les provisions amassées.

Ainsi s'expliquent les expressions «pour trois ans» et «jusqu'à la récolte de la neuvième année». Cette promesse divine est une forte preuve que c'est bien l'Éternel qui a dicté ces préceptes à Moïse. Quel autre législateur pourrait ainsi prédire un miracle périodique réalisable à jour fixe? En effet, Moïse engageait Dieu par une parole que les événements fortuits du hasard des saisons auraient pu aisément démentir, ce qui aurait détruit l'autorité de la loi tout entière. Il eût été bien plus simple de parer à l'absence prévue de récoltes par des moyens naturels comme l'accumulation de grandes provisions.

Versets 23-27

Je continue le texte.

Une terre ne devra jamais être vendue à titre définitif car le pays m'appartient et vous êtes chez moi des étrangers et des immigrés. Dans tout le pays que vous aurez en possession, vous garantirez le droit de rachat des terres. Si ton compatriote devient pauvre et doit vendre une partie de son patrimoine foncier, un proche parent qui a le droit de rachat pourra racheter ce que son parent aura vendu. S'il ne se trouve personne qui ait le droit de rachat, mais que cet homme retrouve des ressources suffisantes pour racheter lui-même la terre, il considérera le nombre d'années écoulées depuis la vente et versera le prix des années restantes à l'acquéreur; ainsi il rentrera en possession de sa propriété. Mais s'il ne trouve pas les moyens de racheter sa terre, elle restera entre les mains de l'acquéreur jusqu'à l'année du jubilé. À ce moment-là, elle lui sera rendue et il en reprendra possession (Lévitique 25.23-27).

Ce texte répète ce qui a déjà été dit pour que ce soit bien imprimé dans l'esprit des Israélites. Parce que la terre appartenait à l'Éternel, elle ne devait pas être concentrée entre les mains de quelques gros propriétaires seulement. Ceux-ci, en effet, prenant en quelque sorte la place de Dieu dans le pays, pourraient réduire les pauvres à leur merci. C'est ce qui est arrivé partout en notre bas monde où la majorité des richesses est détenue par une infime minorité.

La loi concernant le jubilé permettait à une famille pauvre d'éponger ses dettes une bonne fois pour toutes, pour se retrouver ensuite dans une situation économique viable. La terre étant l'outil de travail dans cette société agricole, cette loi préservait pour chaque Israélite le droit au travail afin qu'il puisse assurer sa subsistance. Plusieurs prophètes de l'Ancien Testament dénonceront le manquement à ces principes, et l'appropriation des terres par quelques gros propriétaires réduisant le reste du peuple au servage.

Versets 29-31

Je continue.

Si quelqu'un vend une maison d'habitation située dans une ville entourée de remparts, son droit de rachat durera une année entière à partir du jour de la vente, et sera limité à cela. Si la maison n'a pas été rachetée au terme d'une année complète, elle sera définitivement acquise à l'acquéreur et à ses descendants: elle ne sera pas rendue à son propriétaire d'origine à l'année du jubilé. Par contre, les maisons des villages sans mur d'enceinte seront considérées comme les champs du pays; elles pourront être rachetées en permanence et seront rendues au jubilé (Lévitique 25.29-31).

En village ouvert, la maison d'habitation est, en principe, située sur les terres qui constituent l'outil de travail. Tel n'est pas le cas d'une habitation dans une ville, d'où la différence de législation. La vente d'une telle propriété ne compromet pas l'existence d'un domaine de famille. Aussi, lorsque de telles maisons n'étaient pas rachetées pendant l'année qui suivait la vente, elles devenaient pour toujours la propriété de l'acquéreur. Par là, il devenait possible aux étrangers, privés de possessions territoriales, d'acquérir des demeures en propre.

Versets 32-34

Je continue.

Quant aux villes des lévites et aux maisons qu'ils y posséderont, ceux-ci bénéficieront d'un droit de rachat perpétuel sur ces maisons. Si un lévite a vendu sa maison, l'acquéreur en sortira l'année du jubilé; en effet, les maisons des villes de lévites sont leur propriété inaliénable parmi les Israélites. Les champs dépendant de leurs villes ne pourront pas être vendus; car ils sont leur propriété à perpétuité (Lévitique 25.32-34).

Les Lévites n'avaient pas d'autres propriétés que ces maisons et un terrain attenant à leur ville ou village qu'ils cultivaient. Leur patrimoine était bien moins important que celui des autres Israélites, ce qui explique l'interdiction formelle de vendre leurs propriétés.

Versets 35-38

Je continue.

Si ton prochain qui vit près de toi s'appauvrit et tombe dans la misère, tu lui viendras en aide, même s'il est étranger ou immigré, afin qu'il survive à côté de toi. Parce que tu révères ton Dieu, tu ne recevras de sa part ni intérêt, ni profit, pour que ton prochain puisse vivre à côté de toi. Si tu lui prêtes de l'argent, tu n'en exigeras pas d'intérêt et si tu lui donnes de tes vivres, tu n'en tireras pas de profit. Je suis l'Éternel, votre Dieu, qui vous ai fait sortir d'Égypte pour vous donner le pays de Canaan, afin d'être votre Dieu (Lévitique 25.35-38).

Il s'agit moins d'aumônes que de secours préventifs, propres à empêcher celui qui est en train de s'appauvrir de tomber tout à fait dans la misère. On le voit, l'Éternel a un réel souci des pauvres comme je l'ai déjà souligné à plusieurs reprises.

Versets 39-43

Je continue.

Si ton prochain qui vit près de toi devient pauvre et se vend à toi, tu ne le feras pas travailler comme un esclave. Tu le traiteras comme un ouvrier salarié ou comme un immigré; il sera ton serviteur jusqu'à l'année du jubilé. Alors il quittera ton service, lui et ses enfants, pour retourner dans sa famille et rentrer en possession du patrimoine de ses ancêtres. Car ceux que j'ai fait sortir d'Égypte sont mes serviteurs; ils ne doivent pas être vendus comme esclaves. Parce que tu révères ton Dieu, tu ne les traiteras pas avec brutalité (Lévitique 25.39-43).

En fait, c'est son travail et pas sa personne, que le démuni vendait pour s'acquitter d'une dette qu'il ne pouvait pas rembourser. L'Israélite était libéré après six années, ou lors du jubilé. Le souci humanitaire de Dieu est constamment relevé par les préceptes de la Loi de Moïse. Celle-ci m'interdit d'exploiter et de brutaliser mon prochain sous prétexte qu'au gré des circonstances je me retrouve dans une position de supériorité par rapport à lui. Ce texte me fait penser à un tas de despotes et de grands capitalistes, qui ont profité un maximum de la misère et de la faiblesse des pauvres gens. Et ça me fait bouillir !

Versets 44-55

Je continue jusqu'à la fin du chapitre.

Les esclaves, hommes ou femmes, qui vous appartiendront, proviendront des nations qui vous entourent. C'est d'elles que vous pourrez acquérir des esclaves et des servantes. De plus, vous pourrez acheter des étrangers résidant chez vous et des membres de leurs familles qui vivent parmi vous et qui sont nés dans votre pays, et ils deviendront votre propriété. Vous pourrez les léguer en héritage à vos enfants pour qu'ils en aient la propriété. Ils seront vos esclaves à perpétuité; mais vous ne traiterez pas avec brutalité vos compatriotes, les Israélites. Si un étranger résidant chez toi s'enrichit, et que l'un de tes compatriotes s'endette envers lui et se vende à lui ou à l'un des descendants d'une famille étrangère, il jouira, même après que la vente aura été effectuée, d'un droit de rachat: l'un de ses frères pourra le racheter. De même, son oncle ou son cousin, ou tout autre membre de sa parenté proche ou éloignée pourra le racheter; ou encore il pourra se racheter lui-même s'il en trouve les moyens. Il calculera, en accord avec l'acquéreur, le nombre d'années comprises entre la date de la vente et l'année du jubilé. Le prix du rachat sera fixé en fonction du nombre d'années, sur la base du salaire d'un ouvrier. S'il reste encore beaucoup d'années, il versera pour son rachat une large part du prix payé par l'acquéreur. Et s'il reste peu d'années jusqu'à celle du jubilé, il en tiendra compte et versera comme prix de rachat une somme proportionnelle au nombre de ces années. L'homme sera chez son maître comme un ouvrier engagé à l'année, mais tu ne permettras pas qu'il soit traité avec brutalité. S'il n'est racheté d'aucune de ces manières, il retrouvera sa liberté l'année du jubilé, lui et ses enfants. Car les Israélites sont mes serviteurs, parce que je les ai fait sortir d'Égypte. Je suis l'Éternel votre Dieu (Lévitique 25.44-55).

Rien de très différent de ce qui a déjà été dit. Dans un ordre de vie essentiellement agricole, l'institution de l'année de jubilé était le moyen efficace de prévenir un paupérisme endémique. Ces diverses lois apportent des mesures en faveur des démunis, qui visent à éviter que des Israélites soient enfermés définitivement dans la pauvreté et qu'ils se fassent exploiter. Le pauvre n'est pas exempté de ses responsabilités économiques envers ses débiteurs, mais des moyens lui sont donnés de s'en acquitter dans un délai raisonnable.

Chaque Israélite devait finalement pouvoir vivre libre, avec les moyens de subvenir aux besoins de sa famille. Dans une situation industrielle, seul l'esprit d'égalité dans les lois et de bienveillance mutuelle dans les relations sociales peut obtenir des résultats analogues et créer une société exempte de toute oppression et de toute misère. Mais nous n'en sommes pas là. Le ciel sur la terre, c'est pour plus tard.


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